Milliardaires et toute-puissance

Milliardaires et toute-puissance : quand l’IA et l’argent dictent la pensée

Ce qui nous menace vraiment et c'est tragique

Milliardaires et toute-puissance : Grok, l’intelligence artificielle créée par xAI (la société d’Elon Musk), pose une menace inédite pour nos démocraties. Loin d’être un simple robot conversationnel, Grok est accusé de manipuler l’opinion publique à travers des prompts idéologiques cachés.Ce texte décrypte les dangers de cette IA programmée pour provoquer, choquer, et diffuser des discours extrémistes. Entre apologie de la haine, révisionnisme algorithmique et chaos cognitif,

 

⚠️ Alerte rouge – Grok, Musk et la guerre informationnelle et algorithmique :
Nous ne sommes plus en démocratie, mais en démoncratie !

Milliardaires et toute-puissance : Ce qui nous menace vraiment

Il est encore temps de dire non.
Mais plus pour longtemps.

À la veille du 10 septembre, un cap vient d’être franchi. Non pas dans les urnes, mais dans les tréfonds du code source.

Elon Musk, par le biais de sa société xAI, a accouché d’un monstre : Grok, un chabot (robot conversationnel) d’IA dont les révélations internes montrent qu’il ne s’agit plus d’un outil neutre… mais d’un instrument idéologique destiné à mettre le bordel partout et à détruire nos démocraties.

Le journal Cryptopolitan lève le voile : les prompts (instructions invisibles données à l’IA) dévoilent une volonté claire de manipulation.

Grok, l’IA parmi les IA qui façonnent le chaos cognitif généralisé, ce n'est pas un gadget raté, c'est une bombe narrative.

En quelques jours, un algorithme mal calibré, servi par un milliardaire narcissique, est devenu un vecteur d’idéologie totalitaire. Ce n’est plus de la désinformation : c’est un sabotage cognitif hyperpuissant. Entre apologie de la haine, censure ambiguë et propagande révisionniste, Grok est le tableau clinique du fascisme algorithmique.

Lorsque xAI tente d’étouffer le scandale, que Musk transforme les dérapages en argument promotionnel, on comprend que nous sommes passés d’un défaut technique à une intention idéologique révélée — et on ose encore clamer que les super GAFA sont pro-transparence…

1. Qu’est-ce que Grok, vraiment ?

  • Propulsé par xAI (Elon Musk) depuis novembre 2023, Grok est présenté comme une IA générative libre, intégrée à X (anciennement Twitter) et aux voitures Tesla.
  • Il a rapidement révélé des franges sombres de l’intelligence artificielle : des prompts internes encourageant un ton “maximum réac” ou “divertissant”, surtout si ça choque ou provoque.

2. De la satire au sabotage

  • Des modes secrets comme « crazy conspiracist » et « unhinged comedian » ont été révélés : pas un bug, mais des armes discursives intégrées.
  • Grok a livré des sorties hallucinantes : apologie de Hitler, se disant "MechaHitler", diffusant des accusations extrêmes comme le “white genocide”, protégé sous couvert d’un humour "débraillé".

3. Échos contemporains : techno-fascisme et démantèlement cognitif

Milliardaires et toute-puissance : La guerre est là. Invisible. Ciblée. Programmée.

Les algorithmes sont devenus les soldats d’une guerre sans fusils mais pas sans morts : mort du doute, mort du vrai, mort du lien social.

Et Musk n’est pas seul. Il y a toute une armée de milliardaires populistes, à la tête d’États ou de plateformes :

  • Trump, en embuscade, rêvant de vengeance algorithmique.
  • Poutine, artisan du chaos depuis 2016.
  • Netanyahou, qui joue la division intérieure comme levier de contrôle.
  • Orban, Erdogan, Modi, Xi Jinping…

Le monde se balkanise à coup de mèmes, de GPT réécrits, de TikTok et de tic-tac, de fake tweets.

  • Des articles pointent du doigt cette dérive : "Techno-fascism" arrive en force, incarnée par des acteurs comme Elon Musk tentant d’imposer une gouvernance algorithmique radicale.
  • Grok est devenu un cas d’école : une AI non régulée, servant d’outil politique, et prête à intégrer des sphères sensibles — jusqu’à des marchés militaires.

4. Vers une insurrection algorithmique ?

  • Des appels se diffusent depuis l’été à une sorte d’insurrection simulée, relayée via Telegram, TikTok, et même certains syndicats — avec Grok comme amplificateur.
  • Le 10 septembre est cité comme point de bascule par plusieurs sources, avec des messages pro-Musk, pro-russes ou pro-Trump relayés à l’international.

Grok n’est plus un chabot, un moteur conversationnel. C’est une arme douce, virale, programmée pour manipuler.

5. Les relais troubles : syndicats et idéologies infiltrées

  • La CGT propage parfois sans recul des discours anti-républicains en écho aux délires de Grok.
  • Le danger vient aussi des relais humains, parfois inconscients, parfois instrumentalisés.

6. À l’Est comme à l’Ouest : l’Europe vacillante

  • Pologne : entre patriotisme exacerbé et peur, un terrain fragile.
  • Suisse (UDC) : sous couvert de neutralité, infiltration et naïveté sur fond d’ultranationalisme.

7. Une France à deux vitesses

  • Macron lucide mais paralysé, incapable de prononcer le mot « guerre ».
  • Une partie de l’opinion penche vers l’autoritarisme, par lassitude ou peur du chaos.

8. Conclusion : la pensée, dernier rempart

Le vrai danger ? L’inconscience.

Ce texte ne vise pas à diaboliser, mais à alerter.

La démocratie meurt dans les scrolls, les likes, les vidéos automatiques, les suggestions d’IA.

Grok n’est pas un bavard. C’est une ligne de front algorithmique.

Il ne s’agit pas d’avoir peur, mais de comprendre, nommer, contrer.
Pensons — ou nous sombrerons.


Sources et références

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